Strobist – Partie 1 – premières découvertes

Notez cet post

Ça fait un moment que je recherchais un moyen pas chère de me promener telle une tortue,avec un studio mobile sur le dos et quel que soit le lieu où je faisais des photos.

Voici donc un petit retour d’expérience au fur et à mesure de mes tâtonnements et de mes séances. En espérant que cela puisse servir à d’autres.

Commençons par le commencement :

Tout a commencé il y a quelques années.

Le problème de départ est que, lorsqu’on et dans un studio, on a tout le confort du matériel, des modeleur de lumière, etc., mais à force d’être bien au chaud dans un studio douillet à photographier des modèles sur fond blanc, noir ou gris… et bien on finit assez vite par s’ennuyer….

A l’inverse, faire des photos en extérieur ou en urbex c’est bien mais on rencontre souvent pas mal de contraintes de lumière et on se dit qu’une petite boite à lumière ici ou un petit flash là, ça aiderait quand même bien les choses.

Quand j’ai commencé à avoir ces envies d’un studio “transportable” deux solutions s’offraient à moi :

1 – trouver un ou plusieurs lieux qui me conviennent et qui présentent un décor intéressant, mais avec de l’électricité (pas toujours facile quand on est dans la nature ou dans des lieux à moitié en ruine.)

2 – Louer ou acheter un générateur pour mes flashs de studio (lourd / encombrant et surtout très chère, en tout cas : hors de mon budget)

Cependant, j’ai tout de même pu trouver certain lieux qui m’ont permis de faire quelques séance sympas avec les flashs

Urbex  - cave - Strobist

Comme cette séance avec Lucie, prises dans une cave avec un flash de 200 joules, un réflecteur… et surtout une prise de courant 😉

J’ai malgré tout mis cette idée de côté temporairement par manque de lieux et de budgets adaptés.

Une première trouvaille :

Tout à commencer il y a quelques années par une pub que j’ai reçu par mail sur des déclencheurs radios qui me permettaient de déclencher un flash cobra à distance… Assez tenté par le potentiel de ce gadget, je commande donc une paire de déclencheurs de la marque Cactus.

déclencheur Cactus v4
déclencheur Cactus v4


Après avoir reçu le paquet et l’avoir déballé, je fais quelques tests lors d’une séance photo en extérieur, mais juste pour tester le fonctionnement et sans pour autant réellement mettre ça en pratique lors d’une vraie séance dédiée. En plus les piles de mon flash étaient un peu justes et les temps de rechargement étaient du coup assez pénalisant pour être dans une bonne dynamique de prise de vue.


Voilà un premier test moyennement concluant. Les photos ont été prises presque dans le noir complet, mais bon il faut bien commencer. Ici le flash a été positionné une fois face à la modèle et une fois derrière elle, avec un réflecteur devant, pour rattraper un peu de lumière).

Un ou deux mois vont s’écouler avant que je tente de me lancer… Hélas lors de la séance qui aurait due théoriquement servir de test grandeur nature un des déclencheurs est en rade pour cause de pile à plat… et évidement il s’agit d’une pile non-standard….

Le matériel et l’envie d’un studio ambulant vont donc encore rester de côté dans un coin de ma tête et je retourne à mes habitudes photos…

Conclusion de cette première partie :

Il y a potentiellement une solution, mais le matériel n’est peut-être pas encore assez au point (le photographe non plus d’ailleurs) à ce moment-là de mon apprentissage.
Autre point important à retenir : penser à avoir des piles de rechange et avoir du matériel qui utilise des piles standards.

Le prochain article sera sur le matériel et la préparation d’une VRAI future séance Strobist : Le matos

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *